Voici le témoignage de Linda. Je vous le livre sans retouche, tel quel, avec les mots, la force et les émotions de Linda.
Voici mon témoignage….Mon parcours….mon chemin….mon errance médicale….mon histoire.
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Voici mon témoignage….Mon parcours….mon chemin….mon errance médicale….mon histoire.
Lire la suite »Et voilà, retour à la case départ après l’arrêt du traitement Esmya. Un médecin m’a donc prescrit une nouvelle pilule qui est censé couper les règles. Je dis censé car la première expérience avec ce genre de traitement n’avait pas fonctionné, c’était même pire. Mais je n’avais pas le choix. On attaque donc le Lutényl.
Le Lutényl est un acétate de nomégestrol. Il est principalement donné aux femmes ménopausées mais en cas de fibrome, il est indiqué chez les femmes ayant des troubles menstruels type métrorragies.
Ce qui fut le plus frustrant c’est que le traitement Esmya avait bien fait son boulot, les saignements avaient vraiment diminué ainsi que les douleurs, ça faisait tellement du bien. La pilule continuait son travail.
Lire la suite »Et nous voilà fin janvier, pour un énième rendez vous pour tenter encore un nouveau traitement.
Le stérilet Miréna n’ayant pas les résultats escomptés, en effet, les saignements reprenaient de plus belle, le fibrome ayant carrément fait bouger le stérilet. Décision prise donc de le retirer au bout des 6 mois de pose. On essaye un nouveau traitement qui n’est pas sans conséquences. Esmya. C’est presque un joli nom.
Lire la suite »Comme le plan A (pilule progestative censée couper les règles mais pas chez moi), il fallait trouver autre chose pour stopper les hemorragies causées par le fibrome. Mon gynéco m’a proposé de poser un dispositif intra utérin (DIU), un stérilet lui même progestatif, donc censer lui aussi couper les règles.
Il s’agissait du stérilet Jaydess, à base lévonorgestrel. Il s’agit là d’une hormone progrestative. Le stérilet est petit, toujours en forme de T, souple et inséré dans l’utérus pour une durée de 3 ans. L’hormone va agir sur l’ovulation en la bloquant ou la retardant. Il exerce également une action sur la muqueuse utérine.
Lire la suite »Après la découverte du fibrome, il fallait trouver un traitement, quelque chose pour stopper les hémorragies. J’avais de la chance pour l’instant, je n’avais pas de douleurs, juste des règles hémorragiques. Quand j’y repense 3 ans après, c’était vraiment le début de cette galère.
Cela ne durait vraiment que le temps des règles, pas plus pas moins mais je perdais tellement de sang, c’était le début d’une vie centrée autour de ce sang, autour de toujours flipper que je perde du sang, que la fameuse goutte chaude tombe dans ma culotte, la peur de tâcher le fauteuil, être flippée quand tu te relèves. Plus rien ne serait comme avant, je le savais.
Mon gynéco de l’époque m’a prescrit une pilule qui devait stopper les règles. Vous aurez compris rien qu’à cette phrase et surtout au titre, que ce fut un échec. La pilule en question était Optimizette, une pilule progrestative. C’est le générique de la pilule Cerazette. Elle fait partie de ces pilules microdosée. Un progestatif est une hormone similaire à la progestérone, hormone naturelle qui aménage notre endomètre afin d’agir sur l’arrivée de nos règles à chaque cycle. Le dosage d’Optimizette est calculée afin de bloquer l’ovulation et ainsi la survenue de nos règles. Bien sûr, elle garde l’action contraceptive qu’on attend avant tout d’une pilule.
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